« Combien vous vous trompez, oh mortels, qui dans le dédale voyez
Un chemin étriqué qui seulement peut vous détourner:
A l’aveugle un tel chemin peut paraître tortueux
Mais le sage ici saura ne pas perdre sa trace. »
( Von LEHENSTEIN)
Posted in citations, dialogues on 30 janvier 2012| Leave a Comment »
« Combien vous vous trompez, oh mortels, qui dans le dédale voyez
Un chemin étriqué qui seulement peut vous détourner:
A l’aveugle un tel chemin peut paraître tortueux
Mais le sage ici saura ne pas perdre sa trace. »
( Von LEHENSTEIN)
Posted in journal de bord on 29 janvier 2012| 1 Comment »
Le départ vers Amérique du Sud, c’est pour demain. M’accompagneront sur les terres de Machado de Assis et de Borges le “Journal d’un lecteur” d’Alberto Manguel, “L’oeil et l’esprit” de Merleau-Ponty, “Portraits de femmes” de Pietro Citati, “Passions impunies” de George Steiner, “L’autre voix (poésie et fin de siècle)” d’Octavio Paz, “Stanze” de Giorgio Agamben et le”Journal d’une saison sans mémoire” de Silvia Baron Supervielle (j’espère, bien qu’ayant droit avec la “TAM” à 51 kg, m’en tenir là, mais me connaissant un peu…)
(Avenida Paulista, São Paulo, SP)
Je penserai beaucoup à vous tous, visages connus ou inconnus, proches ou lointains, mais à coup sûr réelles présences qui me font, depuis un bout de temps déjà ou tout récemment, l’amitié d’accompagner le dernier segment d’un trajet qui ne fut ce qu’il fut que pour m’aider à (mieux) devenir, comme nous tous, ce que de tout temps j’étais…
Posted in citations, dialogues, journal de bord on 27 janvier 2012| Leave a Comment »
« …de l’amour des femmes (qui n’est pas l’amour d’une femme, ni de la femme, mais le goût de se frotter à des corps complices…) »
( Michel Contat à propos de Paul Nizon, préface à « L’année de l’amour »)
Venant de tels connaisseurs, voilà un propos auquel l’on n’a rien à ajouter, sauf peut-être qu’il n’y a point de honte à s’en éprouver l’enthousiaste adhérent…
Posted in dialogues on 26 janvier 2012| Leave a Comment »
Posted in citations on 24 janvier 2012| Leave a Comment »
« Il y avait là aussi, dans sa boîte en peluche
noire et en coton enveloppé de taffetas blanc,
la petite déesse de jade tenant un grand bouquet
qui passait d’une main à l’autre plus froide. »
( José Lezama Lima)