« …l’amitié noire donne de la bande, sépare ses faux prêtres, s’éloigne en pleuvant, puis appelle en bout de piste l’adolescent d’hermine, passeur de la peine, aux abords d’une aurore où partir en fumée est déjà beaucoup, énorme même, tout peut-être. »
(François Girard)
C’est bien beau de savoir qu’il ne faut même plus penser à cela, comme nous le glissait à tout bout de champ et de toute sa perfide superbe l’adolescent absolu de Charleville, beau petit salaud qui nous planta au milieu du gué, en gueulant « débrouillez-vous! »; mais comment faire?
JE ME SOUVIENS…(XI): François, encore
26 avril 2013 par Rougier
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