»
– Monica Maristain: Peut-on sauver le monde?
– Roberto Bolaño: Le monde est vivant et rien de vivant ne peut être sauvé, et c’est là notre destin. »
À la même question, Borges aurait éventuellement répondu: « Le monde n’étant réel que si l’on y croit, l’idée de le sauver est par là même superflue. », Cortazar peut-être: « L’on ne saurait sauver ce qui vit sans le rendre autre, ce qui est sans doute impossible – c’est pourquoi il nous faudra, sans désemparer, nous y atteler. »
L’une des réponses m’enchante, une autre m’espante, la troisième aurait été la mienne – mais quelles sont-elles?
[Note de septembre 2013: je remets ça, dans l’espoir que cette fois-ci il y aura plus de réponses à ma petite devinette (les gagnants auront droit à un verre de bon Brouilly, alors…)]
[Note de mai 2023: la récompense (un verre de Brouilly, éventuellement deux) tient toujours; à vos plumes, alors…]
Sauve… qui peut.
Essaie de répondre aux devinettes, Madani!
Ah, je prends mon risque, et dirai que celle de Bolano t’espante, celle de Borges t’enchante, mais que tu aurais répondu comme Cortazar. Mais c’est une exercice de projection que tu demandes, en fait… 🙂
Réponses parfaitement exactes!!! (je te dois un verre de bon brouilly, n’oublie pas…lol)
Je n’oublierai pas !!!
Hé, hé…