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Archive for novembre 2013

 

« La lecture fortuite, fragmentée, sans intention préalable et non linéaire, où le sujet trouve toujours ce qu’il cherche, est une preuve de sa vérité… »
(Ricardo Piglia: Le dernier lecteur)

Oui, peut-être, ou alors tout le contraire, comme la voix te susurrant (oh, bien souvent!) que le concept de « vérité » n’a, dans sa polyphonique ambigüité, RIEN à voir avec la littérature…

 

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De ce que j’ai été, et fait, je ne suis fier au sens plein que d’une chose: d’avoir tôt compris (avec Cristina Campo) que « vraiment c’est la beauté qui compte, sur elle que tout tourne et se joue. »

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Milieux…

 

On parle du « milieu littéraire »; tiens, c’est le même mot utilisé pour une autre profession bien connue, et je trouve de plus en plus qu’il a de franches et troublantes ressemblances, pas besoin de tractions avant 11CV pour cela…
Je ne suis pas peu fier d’avoir, tout au long d’une vie et avec l’appui de quelques « grands témoins« , su, pu et voulu éviter – passant outre le chant de quelques respectables et amicales, voire affectueuses sirènes – tout genre de pénible compromission avec celui-ci…
Et c’est plus que jamais ce que je me dois de faire: resserrer encore le tri et sereinement continuer mon bonhomme de chemin, accueillant avec joie, dans l’amitié et à bras ouverts qui le voudra bien, suivant même de bon gré – pour peu qu’il y ait accord profond et vraie complicité, – celle ou celui qui ouvrirait, à la machette s’il le fallait, une brèche dans les broussailles, un chemin, la voie, peut-être, qui sait? – mais toujours sans rien demander, et à personne

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Horizon lisboète

 

« Não sou do tamanho da minha altura, mas da estatura daquilo que posso ver »

« Ma mesure n’est pas ma taille, mais les hauteurs que ma vue peut embrasser »
(Fernando PESSOA – traduction André Rougier)

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La battue

 

« Chacun d’entre nous l’a rencontré, une fois au moins. Nous l’avons suivi, tant bien que mal à travers un dédale nocturne où c’était un jeu pour lui de nous égarer – mais qui sait s’il ne nous imposait pas une épreuve?
Une nuit, un jour, minuit éclatant midi, comme récompense ou par lassitude, il nous laissera l’accompagner jusqu’au bout. »
(André Hardellet: Les chasseurs)

Ainsi soit-il: comme je l’entends, et comprends! Oserais-je dire que je l’attends?

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