Ne jamais dire à un Argentin (à un Uruguayen autant de fois que faire se peut, et plus encore…):
– que le plus pur, sensuel et authentique tango, c’est de l’autre côté du Rio de la Plata qu’on le trouve aujourd’hui;
– que pour les connaisseurs (dont je ne suis pas), il en va de même pour ce qui est de la viande rouge;
– que si, en comparaison avec ce « monstre » qu’est depuis belle lurette São Paulo, Buenos Aires est un havre de paix, douceur de vivre et sérénité, l’on peut, sans l’ombre d’un doute, en dire de même de Montevideo par rapport à la cité portègne ;
– que, si la littérature argentine est (et toujours fut) riche, vivante et exceptionnelle qualitativement, ni Horacio Quiroga, ni Mario Benedetti, ni Felisberto Fernandez, ni Juan Carlos Onetti, ni Carlos Liscano, ni Eduardo Galeano ne sont, et n’ont jamais été argentins, comme il arrive à certains de le penser, de l’imaginer, ou de le rêver…
Je les suis moi-même ces conseils, et à la lettre…
Je suis étonné d’avoir pu agrandir tes photos…
Tourisme du clic.
Tant le mot « tourisme » que le mot « clic » peuvent, dans certains contextes, être employées péjorativement. Je veux croire que ce n’était pas ton intention…