Il est des lecteurs qui, bien qu’étonnamment indulgents vis-à-vis de mes élucubrations, se plaignent parfois de n’y point voir mon coeur, ou mes tripes, ou les deux. Je réponds toujours aussi humblement que fermement que pour moi, la poésie, et la littérature en général (l’écrit pour faire « englobant ») ne relèvent ni de la table de dissection ni de l’étal du boucher, en les incitant à y regarder à nouveau, et mieux, et alors, qui sait, peut-être…
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