Pour celles et ceux qui ont, l’espace d’un jour, d’une heure, d’une minute, aimé mon travail, beaucoup, un peu, ou alors passionnément, qui sait? (« los imprescindibles »), tout comme pour qui ne l’aime guère, ou le déteste (non moins nécessaires ceux-là, loin s’en faut!), ces mots de Rilke:
« [*] la perte, pour cruelle qu’elle soit, ne peut rien contre la possession: elle la complète, si l’on veut, elle l’affirme: elle n’est, au fond, qu’une seconde acquisition – tout intérieure cette fois – et tout aussi intense. »
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