À l’heure d’achever, ému, émoustillé, enchanté, la lecture de » Adieu à quelques personnages » de Joaquim Vital, je me suis souvenu que celui-ci, mon cadet de presque quatre ans, nous a lui-même quittés au début du mois de mai de l’année dernière…
Tous ceux qui eurent le privilège d’approcher ce personnage hors du commun peuvent confirmer ce que son livre montre de lui-même comme des plus grands qu’il évoque (les Fini, Waldberg, Guérin, Lambrichs, Boutang, Deleuze), à savoir que ce sont eux les plus faciles d’accès, les plus ouverts, les plus généreux, tout cela en un temps, bien sûr, que les moins de soixante ans ne peuvent pas connaître…
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