« Ferruccio disait que celui qui écrit pour commenter la vie pense toujours que son commentaire est plus important que ce qu’il commente, même s’il ne s’en rend pas compte. »
(Antonio Tabucchi: Tristano meurt)
Ah, qu’elle fait du bien l’impitoyablement amère lucidité de Tabucchi, laquelle fait, comme peu d’autres, littéralement TOUCHER DU DOIGT QUI et CE QUE je déteste et n’accepte pas, en littérature comme ailleurs – car ils sont légion, ceux pour lesquels leurs actions ou alors leurs écrits « sur » la vie sont bien plus importants que la vie sur laquelle ils croient avoir agi et écrit, croyez-moi, légion…
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