« Mais le monde est rond, c’est une piste, un carrousel, une guirlande, il n’invente rien et nous oblige à tout renommer, tout oublier [*]
Vieillissons-nous? Sommes-nous sujets au vertige, aux écarts de langage, à la dégradation des idéaux? Prenons-nous des décisions que nous regrettons, des coups que nous rendons? Avons-nous peur du vent, des bêtes obscures, des rires cachés sous les pierres?
Non. »
(CLARO)
Quelle que soit la réponse (un « oui » valant sans doute le « non » du texte), ces lignes ne sont pas seulement âprement belles, mais peut-être vraies – pour autant que ce mot ait un sens s’agissant de littérature…
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