« En vieil anglais DWELLAN signifie précisément détourner, dévoyer, ou s’égarer, comme dans une forêt. En d’autres termes, nous habitons notre dépaysement, notre abandon, même quand nous restons au même endroit, tant que nous ne nous fermons pas à l’élément étranger qui habite notre finitude. »
(Robert Harrison)
Extrait de ce très grand livre qu’est « FORÊTS – Essai sur l’imaginaire occidental »…
superbe livre que j’ai évidemment lu, relu, potassé, décortiqué… de l’écorce jusqu’au cœur de l’aubier
Il faudrait qu’on en parle un de ces jours…Fais-moi signe si tu es à Paris (j’y suis jusqu’au 29, sauf du 18 au 21)