« O make me a mask » (Dylan Thomas)
Droit devant, l’ingrat ajustement tournant au ban des soutes, jeu défiant veilles et icônes, arme seyante, crue de balafres, feu sans rage débordant ses mainmises, crible qui dresse et devance (que nos regards enfin entravent), dénis de l’heure et du chemin, mouchards que balbutient, détournent, convient et obscurcissent ces méfaits que l’astre heurté saura seul mutiner…
(Arrivés de toujours, qui s’en iront partout: qui d’autre paraphraser à l’heure de la grande traversée, sinon Arthur, dites-moi, qui?)
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