Zénith sans mitoyennetés, garant de la promesse qui s’y dissout, te sert d’exorde, d’enfance dernière, inféodée à la durée, réglée par ses bévues, livrée à l’ogre qui scelle tes maigres provendes, les survies brûlées à l’aspic, les conspirations que plus rien ne viendra dénouer: ni ton indifférence aux traces, ni le dessein qui en ignore l’enjeu et le doute, le terme inhabile, la demeure hors de soi, contiguë du lointain, du l’éclair qui l’institue.
Qu’importent alors les gerbes d’entames, l’égard aveugle, la lie des lieux, l’éveil cadenassé brillant dans ces broussailles que le Rien vient assouvir, les subterfuges qui font flamber le saut, sourdre l’aune, tarir l’enclos, l’apprentissage des dénis, l’ombre qui ruisselle, entasse dérives et clefs, te déleste des prothèses de la mort hospitalière.
(2015)
JOURNAL D’UN AFFRANCHI (CCLXVI): Dévoilement
26 juillet 2016 par Rougier
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