Rien n’est vrai, ni ta parole, ni tes rebuts, ni la prémonition que tes yeux cachent, ni l’approche de l’obscur ou le chiffre des choses, ni du dieu à deux faces ce que tu sus garder ou retrouver, pas même l’imployable voix te contournant, toujours de plus près, exténuant tes lèvres, compromettant le monde…
(1999)
JOURNAL D’UN AFFRANCHI (CCCIV): Écrire (XLI) – Rien n’est vrai
24 août 2016 par Rougier
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