Nous égarer dans la demeure du pendu, nous dépouiller du lointain fait de sabliers et d’issues – dilapider paris et pactes, risques et ferveurs, fainéantises et impostures – couvrir les traces s’affrontant aux blâmes furtifs, hors de portée de l’obscur des partitions, du zénith des louanges, des vétilles bornant à haute dose nos vies – ne jamais approcher de trop près les vergers rabougris qu’enchâsse le labyrinthe qui chuchote à nos oreilles…
Il se peut que les langues finissent par mourir, les « réalités » aussi. Pas le langage.
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