Muer en refuge le secret qu’il nous faut taire / le soupirail trompeur / l’écart narquois / l’illimité de l’écrit et la nausée des jours / l’heure cabossée qui tranche et maudit, enchaîne grains et haleines, dépouille la mémoire de ses décombres.
Rompre n’est pas répliquer, mais étrenner.
Hors d’haleine d’avoir tout vu jusqu’à douter d’être, bonheur d’avoir tout su dilapider laissant la louange aux autres, loin de l’envers trouble, de la patience que vient interrompre le repentir, ver rongeur toujours prêt à dégainer la malfaçon en secret épanouie qui cache les fins, éloigne des buts, scinde la pénombre reprisée qui enduit la rage des départs, les débris de l’Histoire…
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