Que retenir des profils d’emprunt, des rafales qu’on entrevoit, des boues que nos leurres réchauffent, des balafres signant leur déroute sur les parvis, du long silence des maîtres, du brouhaha et de la vermine, des cris des gabiers arrachés aux mâtures, des guêpières arpentées à voix basse, des tourbières dévoyées, des alambics égayant les continents à la dérive?
Où se cacher du pacte qui se dérobe à l’Orient rouge, de l’erreur qui affûte ses lames, amasse nos cicatrices, enseigne aux hommes comment guérir d’être?
De tout cela, que faire?
« Il n’y a rien à faire, il n’y a rien à y faire. »
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