On peut (presque) tout, y compris être, et en guérir.
On peut, telle nuit, dissoudre le cours des heures.
On peut parfois choisir, c’est-à-dire refuser.
On peut revoir Narcisse, l’eau laide qui le reçut, la fin diffuse.
On peut vaincre, briller, dévisser, oublier.
On peut imaginer des choses, en faire voeu, s’en défaire ou s’y perdre.
On peut s’en aller là où personne n’accompagne personne.
On peut s’éprouver différent – en vérité, ou non.
Indifférent jamais, nulle part, par aucun temps.
Être indifférent, c’est trop haïr, c’est ne plus rien vouloir, sinon mourir mille morts.
et meilleurs vœux mâtinés de politique à gauche pour 2020 ! 😉