Il me faut t’avouer aujourd’hui ces lettres jamais envoyées, ces messages au langage cru, mais bien moins encore que les images précises, presque cliniques du désordre sans tabous ni limites des corps, le crescendo haletant sans censure ni césure ni ponctuation levant à l’extase finale. Peut-être il y a-t-il de meilleures manières de jouir, mais sûrement de bien pires pour rajeunir, car nulle musique ne manque à mon désir, que l’âge rendit savant, mais pas plus sage. Voilà, c’est dit, il n’y a plus rien à rajouter.
L’impossible rencontre eut pourtant lieu, car faute de pauvrement nous retrouver, nous nous sommes rejoints, ensemble, nous-mêmes.
Quelques clairvoyantes ont su voir en moi l’Autre que je suis vraiment. Tu en fais partie.
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