Plus rien ne t’appartient, pas même le règne des morts. La brume qui monte des eaux te prend les yeux ouverts. Tiens seront désormais l’oubli avare, les souffles et les cailloux, l’ombrage qui t’aveugle, les rires anciens, les voix qui déjà sonnent faux, les heures qui commandent toutes choses tues, ou à venir – jusqu’aux mensonges qui les gouvernent et te ballottent.