Les Confins, blog d’André Rougier.
« Un jour, peut-être, lirez-vous ce message. Ou pas. Puisque tout sera déjà consommé, cela n’aura, quoi qu’il en soit, plus d’importance. Car si la vie pouvait être autre qu’elle ne fut, elle en viendrait à effacer le temps, la succession des causes et des effets qui sont sa trame même, et cela ne se peut. Et mes cartes ne peuvent changer ce qui, se devant d’être, a déjà eu lieu. »
(Antonio Tabucchi)
« Ceux qu’il voit, ce sont les écrivains de Paris. Pas aussi souvent qu’il l’aurait dans le fond désiré, mais il les voit, et de temps en temps parle avec eux, et eux savent (généralement de manière vague) qui il est, il y en a même qui ont lu deux ou trois de ses poèmes en prose. Sa présence, sa fragilité, son épouvantable souveraineté servent à certains d’entre eux de stimulant et de rappel. »
(Roberto Bolaño)
[…] et Danielle Masson http://jetonslencre.blogspot.fr/ André Rougier https://andrelbn.wordpress.com/about/ et Joachim Séné http://joachimsene.fr/txt/ Martine Sonnet http://www.martinesonnet.fr/blogwp/ et […]
Seriez vous partant pour un vase communicant à venir (date à fixer) sous la forme d’un échange, à deux, ou dans le cadre d’une « ronde » à venir ?
Hélas non: je me sens honoré (et surpris) que vous me le proposiez, cela aurait été un plaisir aussi, car les « Vasesco » furent une expérience extraordinaire pour moi, j’en garde un souvenir ébloui, mais c’est du passé, et je regarde pas souvent en arrière…Merci infiniment, en tout cas!
Surpris ? Dommage, j’apprécie vos textes
Surpris, je le suis toujours un peu lorsque je rencontre quelqu’un qui apprécie mes écrits…lol
Quant aux « Vasesco », la décision de ne pas donner suite n’a rien à voir avec vous EN PARTICULIER, c’est une décision prise dès le mois d’octobre…
Soyez le bienvenu dans ma vitrine Non Conforme …!!!
Merci! (et j’avais deviné dès le début que vous étiez « Totemenbois »…lol
[…] André Rougier : Le jardin immobile qui toujours sera tien […]
Merci, Piero! (le hasard nous a fait nous rencontrer, et nous en sommes restés là, à l’avenir forçons-lui un peu la main, si tu le veux bien…)
Bonjour André,
je viens de faire paraître mon premier recueil de nouvelles « Ce coquin de Félix » aux éditions l’échappée belle: http://www.lechappeebelleedition.com/mickaelauffray_cecoquindefelix.html
Après avoir parcouru votre site, je me suis dit que mon recueil pouvait faire l’objet d’une chronique sur votre blog.
Je vous sollicite afin de faire vivre cet ouvrage et tenter de lui donner un rayonnement plus large. Si vous souhaitez rédiger un article, l’éditeur peut vous envoyer le livre en format ePUB, MOBI ou PDF.
Cordialement.
Je l’aurais fait avec plaisir, mais, contrairement à ce que vous semblez penser, je ne suis nullement critique littéraire, ce que vous avez pris comme articles relevant de cette coupable activité n’étant que quelques notations concernant, ou des écrivains amis, ou d’autres, vivants ou morts, que je fréquente depuis longtemps en tant que lecteur admiratif – rien d’autre…Je ne puis donc accepter votre proposition, tout en vous remerciant d’avoir gâché du temps à parcourir mon modeste blog…
[…] toutes les chansons des Blogueurs de l’été sur le blog de la RADIO DE L’ETEEt puis si André Rougier, Des Pas Perdus, Rue Affre, CuicuiNRV, BourgeoiseBohême veulent […]
J’apprécie beaucoup vos textes et l’habileté donc vous maniez les mots, c’est très facile à lire et je reviendrai surement… Je fais actuellement un feuilleton sous forme de scénario – dont l’usage des mots est nettement plus terre à terre. Si vous avez le coeur à la critique ou au commentaire, c’est avec plaisir que je les recevrai.
A bientôt A.F.
Pas fâché d’emprunter ces chemins pour vous répondre (refresh your page », m’oppose toujours Twitter) et vous dire merci. C’est un plaisir de se retrouver ici, cher André.
J’aime les confins, ces frontières incertaines et mouvantes, où l’on n’est à l’abri de rien, d’aucune rencontre.
[…] par quelques contacts sur internet mais intimement par la fréquentation de son beau site des Confins) le précise ainsi : compréhensible désir de ne pas se soumettre à l’humiliante comédie […]