Plus rien, ni la mise en rumeur des saisons ou des lieux, ni la menace entravée, la juste minutie allégée dans l’inachevé des choses, ni les scrupules, ni les creusets, la paroi dégrossie, le souci engendré pour en guérir, pas davantage la distance sans disciples, la volonté entêtée d’en voir le bout, d’assumer son autisme, ses clones, ses festins, ses décombres, ni ce qui vient, gère, gouverne et manie, se tournant vers l’illusion des clartés, la maudissant…
Plus rien, sinon la parole sans frein ébauchée, sans borne ni horizon, le lent levain à l’heure de se retourner et de la perdre à jamais, elle qui seule finira par se lever sur ton silence.
JOURNAL D’UN AFFRANCHI (CCCLIII): Styx
7 novembre 2016 par Rougier
[…] André Rougier continue d’écrire sur son Journal, celui d’un Affranchi : […]